Le (PKM) Personal Knowledge Management tire son origine des travaux des chercheurs Karl-Eric Viby et Peter Senge pour qui l’objectif était de faciliter les processus par lesquels les connaissances peuvent être créées, partagées et utilisées dans les entreprises. Le but étant de permettre aux employés d’utiliser les savoir- faire découlant des expériences d’autres employés afin d’améliorer la production tant quantitative que qualitative de l’entreprise. Cette méthodologie encourage les employés à affiner continuellement leur besoin en information tout en les aidant à mieux gérer leur capital social.

Un système de PKM bien conçu aura donc pour objectif d’établir le bon équilibre entre la dimension professionnelle et la dimension privée regroupées dans un modèle appelé TIICC qui aide l’employé à gérer : 

• son Temps 
• son Identité numérique 
• ses Informations 
• son Capital social 
• ses Compétences 

Malgré son nom «Personal Knowledge» faisant référence aux connaissances personnelles, les outils PKM sont utilisés uniquement au sein des entreprises. Néanmoins, la méthodologie peut être appliquée à un particulier désirant gérer ses connaissances personnelles. Dans ce cas, l’utilisation de plusieurs outils libres ou payants sera nécessaire :

1. Les lecteurs RSS pour la collecte et le traitement des données. 
2. Les logiciels de mind mapping pour structurer l’information. 
3. Les bases de données pour organiser l’information. 
4. Les logiciels bureautiques pour présenter l’information. 
5. Les plateformes pour collaborer autour de l’information. 
6. Les réseaux sociaux pour gérer le capital social.

Cette particularité complexe du PKM pour une utilisation personnelle, rend le concept inintéressant pour les privés. Par ailleurs, les dimensions psychologique et sociale ne sont malheureusement pas prises en considération.

Et pourtant, le besoin d’un outil capable de nous aider à développer nos aptitudes quel que soit le domaine, s’accroit graduellement, surtout dans ce monde qui devient de plus en plus compétitif. En d’autres termes, nous cherchons tous à atteindre l’épanouissement personnel tant sur le plan professionnel que privé. Notre gestion des connaissances doit donc viser avant tout notre bonheur. Ainsi le bonheur se résumerait à l’exploitation de ce que nous avons pour faire ce que nous aimons.

Par exemple, dans notre vie, nous tissons des liens qui renforcent nos moyens de réussir. Et nous voyons cela comme le fruit du hasard. Ce qui n’est pas vrai dans la majorité des cas. Nos chances de réussite naissent souvent d’une volonté élaborée grâce à l’exploitation de nos différentes aptitudes pour réaliser nos desseins. Ces liens que nous créons se font également en intégrant les autres ; ceux qui ont plus d’aptitudes mais aussi ceux qui en ont moins que nous ; car notre complémentarité est une chance pour chacun d’entre nous. C’est le but que SDoky nous invite à atteindre.

Le logiciel couvre la plupart des techniques à utiliser à travers des fonctionnalités simples, et s’ouvre à des domaines très divers, à savoir :

• Le développement de vos différentes aptitudes. 
• Le développement de votre capital social. 
• L’amélioration de vos attitudes. 
• La réussite de votre vie professionnelle et privée.